Dans l’ancienne et merveilleuse Egypte, Le nom tant qu’il est écrit ou évoquéCelui qui le porte vit. Il vivra sur d’autre rivagesAvec les cœurs qui l’on porté en euxLe jour ou tour à tour ils auront cessé de battreEt ou leur nom sera inscrit ainsi va la vieMais surtout l’amour, qu’on ne s’y trompe pas,chose essentielle de la vie il subsistera pour l’éternité. Il ne suffit pas de prendre un nomPour en mériter les attributs.Tu en es si proche selon mon cœurEt tu t’en éloigne selon ma raisonJuste quelques mots sincères devantL’humanité qui nous lit et nous juge.Pense avec ton cœur, oublie ton impulsivitéTu peux te protéger sans brûler ce que tu as aimé.Tu as l’intelligence mais « on » a bouleversé ta volonté.Alors si plus rien de matériel ne doit subsister,N’oublie pas le nomDe l’être qui t’aime depuis des lustresDe celui qui t’a respectée et qui ne t’a pas priseAlors que tu étais si jeune adolescente et fragile.N’oublie pas le nomDe l’être qui est, malgré les risques est venu vers toiQuand tu souffrais.Pardonne lui de n’avoir pas su résister à tes charmes de femmeBien que ce ne soit pas vraiment une faute, Juste de l’ amour qui perdure.N’oublie pas le nomDe l’être à qui tu as renvoyé ses cadeauxUn jour, dans un autre siècleQuand tu as pensé trouver ce qu’il te fallait.Je crois que les Dieux te punissent encore pour celaAlors que l'être s'il n’a pas oublié la souffranceIl t'a pardonné depuis bien longtemps.N’oublie pas le nomDe l’être qui a su garder raisonEt ne pas tout briser autour de luiEt en vain, essayé que tu ne fasses de mêmeEt ne pas précariser d’autres existences qui ne méritentPas forcément tant d’égards, Juste pour vivre un moment d’amourQu’il pressentais aussi intense qu’éphémèreTellement tu l’idéalisaisN’oublie pas le nomDe l’être qui fut un des rares àTe respecter tellement ta beautéFut source de désirs pour d’autresPlus proches… De l’animal que lui.N’oublie pas le nomDe l’être qui t’ as le plus aiméQue tu a rejeté avec une fierté inutileAlors qu’il savais plus que toi ce qui t’accablaisJuste quelques mots de confianceComme tu en es capable quand tu laisses ton émotionSe promener dans l’écriture…Mais non.Souviens toi du nomDe l’être pour qui par ta maladroite insoucianceA transformé le mot patience en souffrance.Pourtant l’être te prendra la main si tu lui tend la tienne…
L’Ange !
Il n’y a pas d’amour qui ne finisse, si l’ origine de la souffrance ne provient pas de l’un des deux cœurs qui battent à l’unisson. Ton enthousiasme, ton insouciance pense l’amour, Isis, qui souffre.
Belle ! Belle ! Isis par ce poème,
je viens te rendre hommage et respect.
Tu as espéré le bonheurTu n’a pas échappé au malheur.Ta voix est douce et tendreIsis et l’Ange aiment à l’entendre.Ta douceur et ta générositéAux âmes amoureusesInspirent l’envie de t’aimerEt le souhait de te voir heureuse.Qui t ‘entend à envie de te parlerDe t’écouter et de se confier.On ferme les yeux, on inspireOn perd conscience et on soupire.Iris, la messagère des dieux Sans qui ne seraient rienDeux cœur amoureuxQui maintenant sont liés au tien.
L'âme humaine est la seule sur terre à faire du mal pour son plaisir. On ne peut tolérer qu'un être humain en brime un autre sous prétexte, entre-autres, que ce dernier a signé devant un prêtre ou un représentant de la loi un contrat aux termes floux datant d'un autre millénaire.